• Encore fallait-il entrer

    Pour Entre ombre et lumière, ce mardi les poignées de portes et les heurtoirs...

     

     

     

    Heurtoir 2

     

     

     

    Poignée 1

     

     

     

     

    Poignée 2


     

     

     

    Heurtoir 1

     

     

     

     

    Les poignées étaient si massives

    les portes si lourdes

    puis ce regard

    fermé, austère

    plus loin

    ces yeux suppliants

    fallait-il entrer ?

     

    Anne


  • Commentaires

    27
    Mercredi 28 Septembre 2011 à 17:14

    Par là, les serrures grincent (paraît qu'il faut les multiplier pour se croire en sécurité...), la porte peine, depuis qu'un voisin l'a généreusement baptisé de son ballon d'eau chaude, mais elle n'est jamais heurtée, à part peut-être d'un petit coup d'épaule... Par ici, la porte est grande ouverte, avec sa petite poignée de sourires qui accueille vos mots. Bienvenue Sylvie et merci pour tes mots

    26
    Mercredi 28 Septembre 2011 à 15:44

    j'ose entrer... très belles photos laissant aller l'imagination ! pour ma part, je préfère les serrures et les cléfs. si la beauté n'y est plus, l'imagination perdure.

    25
    Jeudi 22 Septembre 2011 à 19:34

    L'éclat n'est pas beauté... je leur préfère le murmure de la brindille et la discrétion du grain de sable. Belle soirée Loïc. Anne

    24
    Jeudi 22 Septembre 2011 à 18:49

    Un grand merci pour ton thème, Coco. Je ne me serai pas naturellement penchée sur les poignées pour les photographier et tu nous as invités à le faire. Belle soirée

    23
    Jeudi 22 Septembre 2011 à 18:43

    Les portes m'auront permis de m'égarer, ne plus retrouver la porte d'Auteuil... Bisous Hauteclaire, à très bientôt

    22
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 23:17

    Je crois que nous cherchons toujours à nous protéger et que les heurtoirs sont présents bien au-delà des portes, Joëlle.

    Belle nuit. Anne

    21
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 23:12

    Je m'en vais leur murmurer quelques vers de Rimbaud, de Baudelaire, de René Char ou plutôt quelques mots de celui qui ouvre les portes de l'orient extrême. Très amicalement. Anne

    20
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 22:57

    Ils "m'auront fait courir" ces heurtoirs tellement absents dans certains quartiers de Paris ! Et j'aurai rencontré quelques lions par-ci par-là... ce serait intéressant de se pencher sur ces figures des heurtoirs car elles ne sont pas si nombreuses.

    Douce nuit à toi

    Bises

    19
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 17:13

    Le visage était sévère,

    le regard perçant mais peut-on prendre le risque de ne pas entrer ?

    Bisous Anne, merci pour tous ces heurtoirs et ces portesqui flattent l'oeil

    18
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 16:17

    Des cerbères à séduire : par la poésie peut-être...

    17
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 08:20

    Je vais préparer l'article aujourd' hui et le faire paraître demain. Tu peux disposer de l'article sur l'écriture .Belle journée , le matin est très froid 8° maintenant!! Bisous Anne

    16
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 07:46

    Bonjour Anne, j'aime ces poignées et heurtoirs variés et surprenants parfois, une époque !

    Bonne journée des enfants
    Bises

    15
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 00:20

    Quand veux-tu la faire paraître ? Mes yeux se sont ouverts sur les boutons, la floraison et la fleur elle même... Et puis, me permets-tu de faire références à tes pages d'écriture ? Bisous à toi

    14
    Mardi 20 Septembre 2011 à 23:46

    La dernière image du lys est pour préparer l'article final sur la fleur grande ouverte.Tu peux l'envoyer quand tu veux .Merci encore , bisous

    13
    Mardi 20 Septembre 2011 à 23:21

    Et le dernier, si timide... dis-moi quand tu veux que je t'envoie quelques mots sur le lys. J'ai vu sa floraison. Est-ce ta dernière image ? Bisous à toi

    12
    Mardi 20 Septembre 2011 à 22:52

    Magnifiques, quelle richesse dans leur élaboration. Ces visages austères , peut-être une intimidation! Belle soirée, bisous Anne

    11
    Mardi 20 Septembre 2011 à 22:01

    Là est la question : faut-il entrer ?

    Ces animaux sauvages sont parfois rebutants et pourtant si beaux !

    Contre quoi les propriétaires ont-ils besoin de se protéger ?

    Bonne nuit. Joëlle

    10
    Mardi 20 Septembre 2011 à 22:01
    on en trouve de moins en moins est ce à force de ne plus oser entrer ?
    9
    Mardi 20 Septembre 2011 à 21:44

    Quelle merveille ta première poignée de porte! Voila une belle série de photos. bonne soirée

    8
    Mardi 20 Septembre 2011 à 20:47

    Bonsoir Anne,

    Une porte fermée aux richesses massives parle de ses secrets. Par exemple, elle craint la main du passant qui rêve de l'effleurer.

    Pourquoi?

    Cette porte est si puissante avec son silence comme un défi à la rue, au quartier, à la ville.

     Pourquoi?

    Si vous saviez. L'autre, l'être, le lierre, la fleur, l'oiseau, l'insecte... sont, dans un vertige invisible, sa tentation. Amitiés. Suzâme

     

    7
    Mardi 20 Septembre 2011 à 18:40

    Une question pleine d'appréhension, qu'on pourrait se poser dès la naissance ...

    6
    Mardi 20 Septembre 2011 à 16:52

    Fallait'il entrer pour découvrir des secrets si bien gardés ??

    Bisous

    5
    Mardi 20 Septembre 2011 à 14:44

    Avant d'avoir vu tes photos j'ai pensé à mon numéro deux lorsqu'il est entré au collège. Le soir de la rentrée, il m'a dit : maman, tu m'as mis en prison.

    J'ai toujours admiré ces portes massives avec des cuivres astiqués. Je les admire toujours lorsqu'il m'arrive d'aller en ville.

    4
    Mardi 20 Septembre 2011 à 13:06

    Il est des portes qui protègent, d'autres qui cachent, et certaines, plus rares, restent ouvertes et accueillantes. Ce sont celles que je préfère, même si j'aime celles qui me laissent imaginer ce qu'il y a derrière et que je ne verrai jamais.

    3
    Mardi 20 Septembre 2011 à 10:42

    Observer sagement et imaginer ce qui pourrait bien se cacher derrière, voilà ce que serait la sagesse et la satisfaction du désir de la découverte. L'imaginaire nous entraîne tellement plus loin que la réalité souvent. La plus aimable est encore la dernière...

    2
    Mardi 20 Septembre 2011 à 10:27

    La porte était si belle ...

    Mais le coeur ?

    ...

    1
    Mardi 20 Septembre 2011 à 10:03

    Méfions-nous des ors les plus brillants ...

    LOIC

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :