• Oser...

     

     

    13 D'onde et de sable 

     

     

     

     

     

    ... Ne faut-il pas parfois oser se laisser échouer, dans cette grande paix que nous offre l'anse ?

     

     

     

    Anne Le Sonneur


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  • J’aime laisser mon esprit errer au gré de ce qu’il voit, entend ou lit. Et c’est ainsi qu’il s’en est allé marcher aux côtés des pèlerins d’Emmaüs (Luc 24, 13-16). Oh, il ne s’est pas engagé sur les sentiers de la théologie ni d’autres tout aussi épineux. Il s’est juste contenté de réfléchir (refléter ?) un peu. Il ne sera donc pas question ici du sens des apparitions, de l’« aveuglement » de deux disciples mais plus simplement de marche, de rencontre et de regard.

     

    Ainsi Jésus en personne s’approcha, et il faisait route avec eux ; mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître (La Bible de Jérusalem, éditions Desclée de Brouwer).

     

    Pourquoi les pèlerins, présentés comme ses disciples, donc relativement proches de lui, n’ont-ils pas reconnu Jésus ? Peut-être parce qu’il avançait avec eux, à leur côté. Ainsi, marchent-ils au même rythme, comme sur une même ligne, chacun ne pouvant apercevoir de l’autre que son profil. Pour pouvoir se voir, se regarder droit dans les yeux, il faut aller vers et non pas avec l’autre, aller à sa rencontre et oser l’aventure de la découverte. Il faut oser s’approcher un peu plus, accueillir et être accueilli, car nous découvrons véritablement son visage et lui-même nous renvoie notre image.

     

    De même, lorsque nous sommes deux à partager un repas, nous nous asseyons généralement face à face, rarement côte à côte, parce que le partage se réalise aussi dans le regard. Le profil n’offre qu’une partie de nous-mêmes, tandis que par la vue de face nous nous dévoilons plus pleinement.

     

    Tout cheminement commun ne devrait-il pas commencer par une rencontre, par l’accueil de ce face à face ? Et peut-être pas uniquement « commencer » mais savoir aussi retrouver des moments de rencontres, d’un "aller vers l’autre" comme dans un renouveau, pour ne pas perdre de vue le vrai visage de l’autre.

     

      

     

    Un sentier de pierre et de mer

     

     

                               Mille et un chemins nous sont proposés pour oser aller vers l'autre. 

     

     

     

    A ce propos, il est un livre très intéressant sur le regard : Histoire du visage, de Jean-Jacques Courtine et Claudine Haroche, Petite Bibliothèque Payot.

     

     

    Anne Le Sonneur


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  • J’aime laisser mon esprit errer au gré de ce qu’il voit, entend ou lit. Et c’est ainsi qu’il s’en est allé marcher aux côtés des pèlerins d’Emmaüs (Luc 24, 13-16). Oh, il ne s’est pas engagé sur les sentiers de la théologie ni d’autres tout aussi épineux. Il s’est juste contenté de réfléchir (refléter ?) un peu. Il ne sera donc pas question ici du sens des apparitions, de l’« aveuglement » de deux disciples mais plus simplement de marche, de rencontre et de regard.

     

    Ainsi Jésus en personne s’approcha, et il faisait route avec eux ; mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître (La Bible de Jérusalem, éditions Desclée de Brouwer).

     

    Pourquoi les pèlerins, présentés comme ses disciples, donc relativement proches de lui, n’ont-ils pas reconnu Jésus ? Peut-être parce qu’il avançait avec eux, à leur côté. Ainsi, marchent-ils au même rythme, comme sur une même ligne, chacun ne pouvant apercevoir de l’autre que son profil. Pour pouvoir se voir, se regarder droit dans les yeux, il faut aller vers et non pas avec l’autre, aller à sa rencontre et oser l’aventure de la découverte. Il faut oser s’approcher un peu plus, accueillir et être accueilli, car nous découvrons véritablement son visage et lui-même nous renvoie notre image.

     

    De même, lorsque nous sommes deux à partager un repas, nous nous asseyons généralement face à face, rarement côte à côte, parce que le partage se réalise aussi dans le regard. Le profil n’offre qu’une partie de nous-mêmes, tandis que par la vue de face nous nous dévoilons plus pleinement.

     

    Tout cheminement commun ne devrait-il pas commencer par une rencontre, par l’accueil de ce face à face ? Et peut-être pas uniquement « commencer » mais savoir aussi retrouver des moments de rencontres, d’un "aller vers l’autre" comme dans un renouveau, pour ne pas perdre de vue le vrai visage de l’autre.

     

      

     

    Un sentier de pierre et de mer

     

     

                               Mille et un chemins nous sont proposés pour oser aller vers l'autre. 

     

     

     

    A ce propos, il est un livre très intéressant sur le regard : Histoire du visage, de Jean-Jacques Courtine et Claudine Haroche, Petite Bibliothèque Payot.

     

     

    Anne Le Sonneur


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  •  

    Les paroles qui suivent sont citées par Frédéric Lenoir dans son livre Socrate, Jésus, Bouddha, paru aux éditions Fayard.

     

     

    L’important n’est pas de vivre mais de vivre selon le bien.

     

    Socrate

     

     

     

    Il y a plus de joie à donner qu’à recevoir.

     

    Jésus

     

     

     

    Que tous les êtres soient heureux. Déjà en vie ou encore à naître, qu’ils soient tous parfaitement heureux.

     

    Bouddha

     

     

     

     

     

    Arbre en fleurs

     

    Dans l'attente du fruit

     

     

    Anne Le Sonneur


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    Les paroles qui suivent sont citées par Frédéric Lenoir dans son livre Socrate, Jésus, Bouddha, paru aux éditions Fayard.

     

     

    L’important n’est pas de vivre mais de vivre selon le bien.

     

    Socrate

     

     

     

    Il y a plus de joie à donner qu’à recevoir.

     

    Jésus

     

     

     

    Que tous les êtres soient heureux. Déjà en vie ou encore à naître, qu’ils soient tous parfaitement heureux.

     

    Bouddha

     

     

     

     

     

    Arbre en fleurs

     

    Dans l'attente du fruit

     

     

    Anne Le Sonneur


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